Avec une formation en informatique-télécoms, économie et en futurologie cybernéticienne, Geneviève Bouché commence sa carrière à France Télécoms en jettant les bases de l’industrie du numérique (1.0, 2.0 et 3.0, des crypto-monnaies et des univers 3D…).
Elle crée ensuite son agence de management de l’innovation qui intervient auprès des institutions et des grandes entreprises, en synergie avec le tissu des startups liées au numérique.
Ce faisant, elle perçoit la puissance de la mutation sociétale induite par la pénétration du numérique dans notre modèle de société. Pour en faire part à la classe politique, aux institutions et aux dirigeants d’entreprise, elle reprend ses travaux de recherche[1], en commençant par la recomposition du tissu économique en France et la réappropriation du territoire.
Outre ses travaux de recherche, elle publie, anime des séminaires, donne des conférences et s’implique dans différents think tanks pour sensibiliser à la futurologie cybernéticienne et ce qu’a à nous dire cette discipline mal connue et pourtant indispensable en cette période d’accélération de l’actualité.
[1] « Incidence de l’introduction de l’informatique dans la vie sociale, économique et juridique en France », thèse soutenue à Dauphine en 1976.